13 SEPT 2020. Il est plus qu’un zèbre. C’est un zigoto. Un psycho schizophrène qui ignore tout et croit tout savoir. Malheur aux sénégalais qui pensent que Sonko pourrait présider aux destinées du peuple sénégalais. SONKO est un homme au Quotient Intellectuel (QI), au Quotient Social (QS) et au Quotient Emotionnel (QE) déficitaires, qui a dans sa bouche des mots comme: « emprisonner », « fusiller », « décapiter », « tuer », « guillotiner ». Un revanchard sanguinaire doublé d’un tartufe irréfléchi qui tombe toujours dans son propre piège. SONKO ne sait, certainement, pas que sa manière de faire et de parler dérange la grande partie des sénégalais. Il est trop arrogant. Futé. Pressé. On ne sait plus, exactement, le contenu de son projet politique.
Et puis, quel marabout féticheur lui a prédit son entrée au Palais au point qu’il passe tout son temps à menacer les gens de les mettre en prison, de les fusiller, de les guillotiner quand il sera au pouvoir? Ou encore de dire qu’une fois au Palais, il ne garantit rien à personne. Comme si, lui-même, avait des garanties de devenir notre Président. Quelle arrogance, quelle ignorance!
A force de parler et de critiquer à tout bout de champs, Sonko a fait découvrir aux sénégalais sa vraie personnalité, ses tares, sa nature sanguinaire, machiavélique et son ignorance.
Avec ces inondations, il a montré ses limites intellectuelles, en voulant faire croire aux populations de la banlieue qu’il compatit à leur douleur, non en tant que politique, mais, en tant que député du peuple. Non, c’est juste du populisme éhonté, un prétexte démagogique dont il pouvait nous épargner. Si Sonko était intelligent, il allait savoir que les inondations dues à un phénomène naturel ne l’épargneraient pas s’il devenait Président de la République. Pour cela, il nous aurait épargné d’être aussi négatif, aussi nihiliste. Il serait plus modeste et modéré, ferait plutôt une esquisse de solution (s’il en a) au problème récurrent des inondations qui n’ont pas dit leur dernier mot.
Au lieu de nous tympaniser avec l’élection présidentielle prévue en…2024, au moment où les populations trinquent dans les eaux. Alors Monsieur Ousmane SONKO, je vous preie de revenir sur terre et d’arrêter de nous pomper l’air. Vraiment. Sérieusement.
PAR BABOU BIRAME FAYE, Journaliste Communiquant et membre de BBY