Les acteurs de la lutte sénégalaise ont fait entendre leur voix ce samedi 26 décembre. En conférence de presse, les professionnels de la lutte réclament la réouverture de la saison et un soutien financier de l’État.

Avec l’arrivée du coronavirus, la tenue de la quasi-totalité des disciplines sportives a été interdite. Dans le souci de prévenir les fortes mobilisations, sources de circulation du virus, les autorités ont tout bonnement pris les devants, interdisant toute forme de rassemblements. Si la plupart des championnats va redémarrer en début d’année, avec les mesures barrières, les lutteurs ne savent toujours pas ce qu’il en est de leur domaine d’activité.

Il faut noter cependant que la lutte demeure le principal sport du pays et draine de par sa popularité des foules immenses qu’aucune autre activité sportive ne parvient à mobiliser. Les lutteurs ont tiré la sonnette d’alarme ce samedi à travers une conférence de presse. Ibrahima Dione, alias Gris Bordeaux, président de l’association des lutteurs sénégalais réclame au nom de l’ensemble de ses collègues « la réouverture de la saison de lutte et un soutien financier de l’État ».

KHIRENA.NET

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